Le promoteur: Centre Hospitalier Régional Universitaire (CHRU) de Besançon

Étude LpDessai : étude de phase 2 non randomisée évaluant l’efficacité d’une polychimiothérapie (méthotrexate, L-asparaginase, idarubicine et dexaméthasone) en 1ère ligne de traitement, associé à une greffe de la moelle osseuse, chez des patients ayant une leucémie à cellules dendritiques plasmacytoïdes. La leucémie dérivée des cellules dendritiques plasmacytoïdes est due à une multiplication maligne et incontrôlée d’un type de cellules du système immunitaire dites les cellules dendritiques plasmacytoïdes. La plupart du temps, l'utilisation d'un seul médicament anti-cancéreux n'est pas suffisante pour obtenir une guérison ou même une réponse clinique de longue durée. L'apparition rapide de résistances entraîne un échec du traitement. La polychimiothérapie repose sur l'utilisation de molécules ayant des toxicités et des mécanismes d'action différents permettant d'augmenter la dose du traitement anti-cancéreux sans augmenter les effets toxiques. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité d’une polychimiothérapie en première ligne de traitement en association avec une greffe de la moelle osseuse chez des patients ayant une leucémie à cellules dendritiques plasmacytoïdes. Les patients recevront de l’idarubicine toutes les 3 semaines, associé au méthotrexate toutes les 3 semaines et à la L-asparaginase tous les 2 jours pendant 1 semaine. Le traitement sera répété toutes les 3 semaines jusqu’à 3 fois. Ensuite, les patients recevront une greffe de la moelle osseuse s’ils sont éligibles ou continueront le traitement. Les patients non éligibles à la greffe ou en échec du premier traitement, recevront un autre traitement de deuxième ligne. Les patients seront revus 1, 3, 6 mois puis 1 et 2 ans après le début du traitement de l’étude.

Essai ouvert aux inclusions

Étude UCPVax : étude de phase 1-2, évaluant l’efficacité et la tolérance d’un vaccin thérapeutique anti-cancer appelé vaccin universel anticancer (UCPVax), utilisant des peptides dérivés de la télomérase, chez des patients ayant un cancer bronchique non à petites cellules (CBNPC) métastatique. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité et la tolérance d’un vaccin thérapeutique anti-cancer appelé vaccin universel anticancer (UCPVax), utilisant des peptides dérivés de la télomérase, chez des patients ayant un cancer bronchique non à petites cellules (CBNPC) métastatique. Cette étude comprendra deux parties : Dans la première partie de l’étude, les patients recevront un vaccin thérapeutique appelé UCPVax administré en injection sous-cutanée toutes les semaines pendant six semaines, puis tous les deux mois jusqu’à un an. Dans le cadre de cette première partie, différentes doses de UCPVax seront testées jusqu’à obtention de la dose la mieux adaptée. Dans la seconde partie de l’étude, les patients recevront du UCPVax administré en injection sous-cutanée à la dose la mieux adaptée déterminée dans la première partie. Les patients seront revus toutes les semaines pendant six semaines, puis tous les deux mois pendant un an. Le bilan de suivi comprendra notamment un examen clinique, un bilan biologique complet (prélèvement sanguin), un scanner thoracique et abdominale et un questionnaire de qualité de vie à compléter par le patient. Dans le cadre d’une étude ancillaire, des prélèvements sanguins seront réalisés afin d’identifier des biomarqueurs qui pourraient être utilisés comme critères de sélection des patients pour d'autres études futures de UCPVax.

Essai ouvert aux inclusions

Etude VICTORIANE : étude de phase 3 randomisée visant à évaluer un traitement par vinorelbine par voie orale métronomique en association avec un inhibiteur de l’aromatase chez des patientes ayant un cancer du sein avancé. [essai clos aux inclusions] Le cancer du sein est le cancer le plus fréquent de la femme. Il prend naissance dans les glandes mammaires et peut se propager à d’autres parties du corps formant des « métastases ». Une des stratégies thérapeutiques de la prise en charge de ce cancer est l’intervention chirurgicale dans le but de retirer toutes les cellules cancéreuses, mais elle n’est pas toujours possible. L’hormonothérapie est un des traitements de référence des cancers du sein. Elle consiste à administrer des médicaments qui visent à empêcher l’action des hormones qui stimulent la croissance des cellules tumorales. La vinorelbine est un agent anticancéreux indiqué dans le traitement des cancers du sein ayant formé des métastases. L’objectif de cette étude est d’évaluer un traitement par vinorelbine en association avec une hormonothérapie (létrozole ou anastrozole) et de le comparer à un traitement par hormonothérapie seule, chez des patientes ayant un cancer du sein avancé. Les patientes seront réparties de façon aléatoire en 2 groupes : - Les patientes du premier groupe recevront du létrozole ou de l’anastrozole par voie orale une fois par jour. - Les patientes du deuxième groupe recevront de la vinorelbine par voie orale 3 fois par semaine, à 2 jours d’intervalle, et du létrozole ou de l’anastrozole par voie orale une fois par jour. Un scanner du thorax, de l’abdomen et du pelvis et une scintigraphie des os seront effectués avant le traitement, toutes les 2 cures et en fin d’étude. Des prélèvements sanguins seront réalisés lors de chaque cure et en fin d’étude. Les patientes répondront à des questionnaires de qualité de vie avant le traitement et toutes les 2 cures de traitement. Les patientes seront suivies selon les procédures habituelles du centre.

Essai clos aux inclusions

Essai visant à rechercher des marqueurs génomiques de diagnostique et/ou de pronostique du cancer de la vessie. [essai clos aux inclusions] L’objectif de cet essai est d’identifier des marqueurs génomiques de diagnostique et/ou de pronostique du cancer de la vessie. Cet essai vise à distinguer les tumeurs superficielles de vessie qui vont progresser de celles qui vont récidiver et de distinguer chez les tumeurs infiltrantes, celles ayant une forte probabilité de métastaser. Tous les patients auront un prélèvement tumoral lors d'une intervention chirurgicale. La prise en charge post-opératoire sera ensuite différente suivant le type de tumeur : - Les patients ayant une tumeur superficielle auront une endoscopie suivie d'une chimiothérapie intra-vésicale ou d'une immunothérapie. Ces patients seront revus pour une cystoscopie et une cytologie urinaire tous les 3 mois pendant 1 an, puis tous les 6 mois la 2ème année, puis tous les ans pendant 15 ans, ainsi que pour une urographie intraveineuse tous les 2 ans. - Les patients ayant une tumeur infiltrante sans métastases se verront proposer une cystectomie. Après analyse, un traitement complémentaire (radiothérapie ou chimiothérapie) pourra être mis en place si la tumeur s’étend au-delà de la vessie ou en cas de métastases. Les patients sont ensuite revus 2 à 3 mois après l’intervention, puis tous les 6 mois pendant 2 ans, puis une fois par an pendant 15 ans avec notamment un uro-scanner, une radiographie du thorax et une bactériologie urinaire.

Essai clos aux inclusions

Etude GYNEQOL : étude de faisabilité visant à évaluer la qualité de vie relative à la santé chez des patientes ayant un cancer gynécologique. Le cancer gynécologique peut toucher différentes partie du corps de la femme au niveau pelvien : le col de l’utérus, le corps utérin, les ovaires, les trompes, le vagin… Il s’agit de cancer relativement fréquent et qui nécessite souvent une intervention chirurgicale en première intention. Le cancer lui-même ainsi que ses traitements peuvent affecter la qualité de vie des patientes de façon importante. La qualité de vie des patients est appréciée en règle générale à l’aide de questionnaires validés scientifiquement et qui portent sur les dimensions symptomatiques, physiques, psychiques et émotionnelles, sociales etc… Jusqu’ici en cancérologie, la qualité de vie a été utilisée principalement dans le cadre d’études cliniques. Les données fournissent des indications aux médecins sur la prise en charge à choisir. Les différentes études ont montré une amélioration de la communication entre le patient et son médecin, l’amélioration de la satisfaction des soins perçue par le patient, l’amélioration de la qualité de vie et de la survie. L’objectif de cette étude est d’évaluer la qualité de vie chez des patientes ayant un cancer gynécologique. Pour les patientes ayant une intervention chirurgicale, l’hospitalisation aura lieu 3 semaines après l’annonce du diagnostic, le délai sera moindre pour la mise en place des autres stratégies (chimiothérapie, radiothérapie…). Les patientes répondront à des questionnaires de qualité de vie et de satisfaction des soins sur un support électronique (pour les patientes ne souhaitant pas utiliser cet outil, le recueil sera fait classiquement sur papier). Les patientes seront suivies 3 semaines après leur traitement (que ce soit pour une intervention chirurgicale seule ou associée à une chimiothérapie et/ou radiothérapie) puis à 3 mois et tous les 3 mois pendant 1 an et demi. Les patientes répondront à des questionnaires de qualité de vie durant leur suivi. A 6 mois, un questionnaire sur l’activité sexuelle sera administré.

Essai ouvert aux inclusions
Essai clos aux inclusions

Étude EPITOPES-HPV02 : étude de phase 2 évaluant l’efficacité et la tolérance d’une chimiothérapie à base de docétaxel, cisplatine et 5-fluorouracile (5FU), chez des patients ayant un cancer du canal anal métastatique ou localement avancé résistant à la radiochimiothérapie. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité et la tolérance d’une chimiothérapie à base de docétaxel, Cisplatine et 5-Fluorouracile (5FU), chez des patients ayant un cancer du canal anal métastatique ou localement avancé résistant à la radiochimiothérapie. Les patients seront répartis en deux groupes selon leur évaluation clinique ((âge, indice de performance) : Les patients du premier groupe recevront une chimiothérapie de type DCF à base de docétaxel de 75 mg/m2 administré en perfusion intraveineuse au premier jour de chaque cure, de cisplatine de 75 mg/m2 administré en perfusion intraveineuse au premier jour de chaque cure, et de 5-fluorouracile (5FU) de 750 mg/m2/j administré en perfusion intraveineuse les cinq premiers jours de chaque cure. Ces traitements seront répétés toutes les trois semaines pendant six cures. Les patients du deuxième groupe recevront une chimiothérapie de type DCF modifié à base de docétaxel de 40 mg/m2 administré en perfusion intraveineuse au premier jour de chaque cure, de cisplatine de 40 mg/m2 administré en perfusion intraveineuse au premier jour de chaque cure, et de 5-fluorouracile (5FU) de 1200 mg/m2/j en perfusion administré en perfusion intraveineuse les deux premiers jour de chaque cure. Ces traitements seront répétés toutes les deux semaines pendant huit cures. Les patients complèteront un questionnaire de qualité de vie et bénéficieront d’un examen clinique, d’un bilan biologique avant chaque cure de traitement, et d’un examen radiologique (scanner thoracique abdomino-pelvien) après trois cures de chimiothérapie de type DCF ou quatre cures de chimiothérapie de type DCF modifié. Les patients seront revus quatre semaines après la dernière cure de chimiothérapie, puis trois mois après la dernière cure de chimiothérapie, et enfin tous les trois mois pendant trois ans. Le bilan de suivi comprendra un examen clinique, un bilan biologique complet, un examen radiologique (scanner thoracique abdomino-pelvien) et un questionnaire de qualité de vie.

Essai ouvert aux inclusions

Etude QOLIBRY. Essai évaluant la qualité de vie des patients pris en charge en oncologie clinique au CHU de Besançon. Les symptômes liés à la maladie et/ou aux traitements sont fréquents chez les patients ayant un cancer et sont aujourd’hui mieux pris en compte par les médecins. La mesure de la qualité de vie liée à la santé s’est développée de façon importante et est devenue un indicateur pertinent d’évaluation et même un facteur pronostique de survie globale pour de nombreux cancers comme le cancer du sein, du colon ou du rectum… La qualité de vie est subjective et compliquée à évaluer, elle concerne les douleurs mais aussi l’état psychologique, social. Les patients sont de plus en plus demandeurs d’une prise en charge globale et pas seulement thérapeutique. L’objectif de cette étude innovante est de tester la faisabilité d’une collecte systématique des données de qualité de vie en utilisant des questionnaires standardisés lors du suivi des patients ayant un cancer du sein, du colon-rectum ou du poumon. Lors du suivi habituel pour sa maladie, le patient sera dirigé vers une salle dédiée aux mesures de la qualité de vie. Le patient se connectera à une tablette ou à une borne informatique, répondra aux questions relatives à sa qualité de vie, puis rejoindra son médecin réfèrent en consultation. Grâce au dossier médical informatisé, le médecin aura accès à l’évolution des différents paramètres et pourra réagir en temps réel en cas de modification sensible sur le poids, l’appétit, le moral etc. Chaque patient sera suivi pendant 4 mois.

Essai ouvert aux inclusions

Etude EPICentro : étude de phase 2 visant à étudier l’association d’une chimiothérapie métronomique de cyclophosphamide (CMC) (à faible concentration et sans période de repos) et de l’interféron-alpha (IFN-α) chez des patients adultes ayant des tumeurs neuroendocrines. Les tumeurs neuroendocrines (TNE) constituent un groupe de tumeurs susceptibles de naître en tout point de l’organisme et caractérisées par leur capacité à sécréter des hormones. Elles évoluent de façon très variable, parfois très lentement. Les traitements ont pour double objectif d’enlever la tumeur et de contrôler les sécrétions hormonales. Ils consistent en une intervention chirurgicale (ablation de la tumeur), un traitement anti sécrétoire ou encore une chimiothérapie qui aura pour but de ralentir, voire de stopper la croissance des cellules cancéreuses, notamment en cas de métastases. Il a été démontré à ce jour que l’association d’une chimiothérapie métronomique (c’est-à-dire qui consiste en l’administration d’une molécule cytotoxique à faible concentration en continue) par cyclophosphamide (CMC) et par l’interféron-alpha (IFN-α) aurait une action synergique en favorisant la réponse immunitaire anti tumorale et leurs effets anti-angiogéniques. L’objectif de cette étude est d’évaluer la réponse immunologique et anti-angiogénique induite par cette association CMC-IFN-α chez des patients ayant des tumeurs neuroendocrines métastasiques ou localement avancées. A l’inclusion, un bilan initial sera réalisé dans les 28 jours précédant l’administration de la première cure de chimiothérapie. Un scanner thoracique abdomino-pelvien et un PETscan (Tomographie par Emission de Positrons scanner), ainsi qu’un bilan cardiologique comportant une échographie cardiaque et un électrocardiogramme seront à réaliser. Une semaine avant l’initiation du traitement, un examen clinique et un bilan biologique seront réalisés. Enfin, avant chaque cycle avec une fenêtre de maximum 3 jours, un examen clinique et biologique sera effectué. Le traitement comportera au total 6 cures dont 3 cures de 28 jours consécutifs de CMC pendant lesquelles le patient recevra un comprimé par jour de cyclophosphamide , suivi de 3 cures de 28 jours de CMC et d’IFN-α en injection sous-cutanée 3 fois par semaine. Le traitement par l’IFN-α pourra être poursuivi en cas de contrôle de la maladie. Un premier bilan d’évaluation sera effectué après la 3ème cure de CMC afin de déterminer pour chaque patient l’influence du CMC sur la réponse immunologique, anti-angiogénique et radiologique. Un deuxième bilan sera effectué après la 6ème cure, lors de la visite de fin de traitement, dans les 7 jours après la prise du dernier comprimé et permettra d’analyser l’évolution des paramètres étudiés lors du bilan précédant pour l’association CMC et IFN-α. Au cours de chaque bilan ainsi qu’en période de suivi, le patient devra compléter un questionnaire de qualité de vie. La chirurgie des métastases sera autorisée et décidée à la discrétion de l’investigateur. Une surveillance sera mise en place dès la fin du traitement. Le patient sera ainsi suivi tous les 3 mois jusqu’à progression de la maladie et jusqu’à 1 an à compter de la visite de fin de traitement. Cette surveillance consistera entre autre en la réalisation d’un scanner thoraco-abdomino-pelvien et/ou un octréoscanner (scintigraphie des TNE) et/ou un PETscan. La durée totale de la participation des patients à l’étude s’élèvera à 6 mois.

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Étude CLavSyn : étude de phase 2 randomisée évaluant l’intérêt d’une intensification thérapeutique chez des patients ayant un cancer colorectal métastatique non préalablement traité et avec un taux élevé de lactate déshydrogénase et de syndecan-1 soluble. [Informations issues du site clinicaltrials.gov et traduites par l'INCa] Le cancer colorectal est le deuxième cancer le plus fréquent chez la femme et le troisième chez l’homme. Il touche le côlon et le rectum et se développe lentement pendant 5 à 10 ans avant de s’étendre à d’autres parties du corps. Le cancer colorectal peut former des métastases notamment dans le foie ou dans les poumons, s’il n’est pas détecté à temps. Le traitement du cancer colorectal métastatique se fait souvent par une thérapie ciblée seule ou associée à une chimiothérapie. L’augmentation du nombre des chimiothérapies et des biothérapies disponibles nécessite un effort de recherche pour mieux individualiser les stratégies thérapeutiques et sélectionner les patients éligibles aux biothérapies. De plus, il est aujourd’hui possible d’intensifier la chimiothérapie pour le traitement des cancers du côlon métastatique en combinant dès la première ligne le 5 fluorouracile, l’irinotécan et l’oxaliplatine (FOLFIRINOX ou FOLFOXIRI) avec ou sans bévacizumab. Le bévacizumab est un anticorps monoclonal dirigé contre le facteur de croissance de l’endothélium vasculaire il permet de limiter la vascularisation du cancer et de limiter ainsi sa croissance en le privant d’apport nutritif et d’oxygénation. L’objectif de cette étude sera d’évaluer l’intérêt d’une intensification thérapeutique chez des patients ayant un cancer colorectal métastatique non préalablement traité avec un taux élevé de lactate déshydrogénase et de syndecan-1 soluble. Les patients seront répartis en 2 groupes selon leur taux de lactate déshydrogénase et de syndecan-1 soluble. Les patients du 1er groupe, ayant des taux de de lactate déshydrogénase et de syndecan-1 soluble supérieurs à la normale, seront répartis de façon aléatoire en 2 sous-groupes : - Les patients du 1er sous-groupe recevront une chimiothérapie standard dite FOLFOXIRI (acide folinique, 5-FU, oxaliplatine et irinotécan) associé à bévacizumab. Le traitement sera répété tous les 14 jours jusqu’à 12 fois. Les patients recevront ensuite une chimiothérapie de maintenance dite LV5FU (acide folinique, 5-FU) associé à du bévacizumab tous les 14 jours, ou une chimiothérapie par capécitabine associé à du bévacizumab tous les 21 jours. Le traitement sera répété en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. - Les patients du 2ème sous-groupe recevront une chimiothérapie standard dite FOLFOX (acide folinique, 5-FU, oxaliplatine) ou dite FOLFIRI (acide folinique, 5-FU, irinotécan) associé à du bévacizumab. Le traitement sera répété tous les 14 jours jusqu’à 12 fois. Les patients recevront ensuite une chimiothérapie de maintenance dite LV5FU (acide folinique, 5-FU) associé à du bévacizumab tous les 14 jours, ou une chimiothérapie par capécitabine associé à du bévacizumab tous les 21 jours. Le traitement sera répété en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients du 2ème groupe, ayant des taux de de lactate déshydrogénase et de syndecan-1 soluble normaux, recevront une chimiothérapie standard. Le traitement sera répété en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients seront suivis tous les 3 mois pendant 4 ans.

Essai ouvert aux inclusions